Djé Baléti

Globe-trotter aux racines cubaines, venezueliennes, italiennes et même tunisiennes, Jérôme Couraut a placé au coeur de sa musique les questions de l’identité. Et c’est parce qu’il a couru le monde que son ancrage occitan, de Nice à Toulouse, lui a ouvert une voie musicale inédite dans le folklore mondial : une mystique carnavalesque qui puise autant dans le highlife ghanéen que dans les tarentelles napolitaines, un groove aux effluves de chaâbi algérien ou de baléti d’ici, qu’il perce de son “espina”, un instrument à cordes nissart réinventé. Sa fusion à l’énergie primitive offre un périple au pays des musiques qui se dansent. Jusqu’à la transe...